Le congrés rogne le budget de la NASA ; 1er février 2007.
Globalement 3.5% en moins. Si tous les programmes NASA
subissent cette errosion, cela veut dire que Constellation
va devoir resserer son budget et finalement les dates
avancées pour les étappes de réalisation vont devoir
s'étaller dans le temps.
Le retour à la Lune vers 2018 risque de ce voir quelque
peu repoussé ; 2020 peut-être (?).
Le projet Martien quant à lui reste inchangé, tant que
l'on ne sait pas faire vivre des cosmonautes en bon
état physiologique au-delà de 9 mois. On dira pour Mars
que le voyage est envisageable en 2050 (?).
Certes la Maison Blanche a encore son mot à dire dans
cette restriction de budget, pourtant je vois mal le
Président US partir en guerre contre cette volonté
politique du Congrés.
Bien entendu l'Europe et en particulier l'ESA doivent
suivre cette péripétie avec attention car leur non
décision, jusque là dans ces domaines, se trouve confortée.
Quant à nous, balancés entre le charmant romantisme du
rêve de "conquête" spatiale et le pragmatisme de l'économie
libérale qui n'investit que sur le court terme pour cause
de gains imédiats, on va continuer de déception en espoir
à croire aux lendemains qui chantent...
:evil:
Globalement 3.5% en moins. Si tous les programmes NASA
subissent cette errosion, cela veut dire que Constellation
va devoir resserer son budget et finalement les dates
avancées pour les étappes de réalisation vont devoir
s'étaller dans le temps.
Le retour à la Lune vers 2018 risque de ce voir quelque
peu repoussé ; 2020 peut-être (?).
Le projet Martien quant à lui reste inchangé, tant que
l'on ne sait pas faire vivre des cosmonautes en bon
état physiologique au-delà de 9 mois. On dira pour Mars
que le voyage est envisageable en 2050 (?).
Certes la Maison Blanche a encore son mot à dire dans
cette restriction de budget, pourtant je vois mal le
Président US partir en guerre contre cette volonté
politique du Congrés.
Bien entendu l'Europe et en particulier l'ESA doivent
suivre cette péripétie avec attention car leur non
décision, jusque là dans ces domaines, se trouve confortée.
Quant à nous, balancés entre le charmant romantisme du
rêve de "conquête" spatiale et le pragmatisme de l'économie
libérale qui n'investit que sur le court terme pour cause
de gains imédiats, on va continuer de déception en espoir
à croire aux lendemains qui chantent...
:evil: