Mustard, bonjour,
Nous sommes tout à fait d’accord.
Je voulais juste signaler que les budgets scientifiques ne sont pas infinis, que tout n’est pas possible : certains d’entre nous attendent le retour sur la Lune, par exemple, d’autres aimeraient voir l’homme marcher sur Mars, d’autres rêvent de sondes se déplaçant sur Titan. D’autres rêvent d’une civilisation dotée de la fusion controlée, d’autres voudraient connaître la nature fondamentale de l’Univers – des supercordes, des quarks à l’origine du big bang. Toutes ces explorations – concrêtes, pour la Lune et Mars, " virtuelles ", intellectuelles pour les autres, ne sont pas dotées d’un budget infini.
Lambda0,
Nous sommes tout à fait d’accord.
Certains scientifiques rêvent de voir des sondes sur Europa, sur Titan : ce serait trop cher (- 5 à 10 milliards de dollars, en tout, peut-être) par rapport aux priorités spatiales actuelles.
En revanche, je voudrais noter que tu évoques seulement " le Système solaire " comme lieu d’exploration possible : pour certains scientifiques, la grande révolution du XXI e siècle, c’est la découverte et l’exploration " virtuelle " des exoplanètes. Nombre de télescopes spatiaux sont/étaient prévus pour tenter de réaliser cette bouleversante découverte : des planètes sœurs de la Terre. Or, la politique spatiale actuelle, à l’ESA comme à la Nasa, semble privilégier, d’un point de vue financier, une exploration plus proche : la Lune, l’espace (ATV, Columbus, retour sur la Lune et Mars). C’est un choix politique, que l’on peut approuver, mais qui a des conséquences sur d’autres programmes, comme Eddington, comme SIM, comme Planet Finder, comme Planet Imager, entre autres… Tous systèmes de technologies avancées, destinés à faire avancer l’homme dans l’inconnu – détecter des planètes, découvrir leur éventuelle ressemblance avec Vénus, Mars, La Terre, analyser leurs atmosphères, et même photographier leur surface ! - de l’exploration, en somme.
S
Nous sommes tout à fait d’accord.
Je voulais juste signaler que les budgets scientifiques ne sont pas infinis, que tout n’est pas possible : certains d’entre nous attendent le retour sur la Lune, par exemple, d’autres aimeraient voir l’homme marcher sur Mars, d’autres rêvent de sondes se déplaçant sur Titan. D’autres rêvent d’une civilisation dotée de la fusion controlée, d’autres voudraient connaître la nature fondamentale de l’Univers – des supercordes, des quarks à l’origine du big bang. Toutes ces explorations – concrêtes, pour la Lune et Mars, " virtuelles ", intellectuelles pour les autres, ne sont pas dotées d’un budget infini.
Lambda0,
Nous sommes tout à fait d’accord.
Certains scientifiques rêvent de voir des sondes sur Europa, sur Titan : ce serait trop cher (- 5 à 10 milliards de dollars, en tout, peut-être) par rapport aux priorités spatiales actuelles.
En revanche, je voudrais noter que tu évoques seulement " le Système solaire " comme lieu d’exploration possible : pour certains scientifiques, la grande révolution du XXI e siècle, c’est la découverte et l’exploration " virtuelle " des exoplanètes. Nombre de télescopes spatiaux sont/étaient prévus pour tenter de réaliser cette bouleversante découverte : des planètes sœurs de la Terre. Or, la politique spatiale actuelle, à l’ESA comme à la Nasa, semble privilégier, d’un point de vue financier, une exploration plus proche : la Lune, l’espace (ATV, Columbus, retour sur la Lune et Mars). C’est un choix politique, que l’on peut approuver, mais qui a des conséquences sur d’autres programmes, comme Eddington, comme SIM, comme Planet Finder, comme Planet Imager, entre autres… Tous systèmes de technologies avancées, destinés à faire avancer l’homme dans l’inconnu – détecter des planètes, découvrir leur éventuelle ressemblance avec Vénus, Mars, La Terre, analyser leurs atmosphères, et même photographier leur surface ! - de l’exploration, en somme.
S