phenix Mar 31 Oct 2023 - 19:00
On a parlé de venus ? Donc me voici.
Merci de c’est info. C’est vrai qu’on entend parler depuis un moment de cette mission qui est toujours annoncé pour la prochaine fenêtre de tire vénusien. J’espéré que cette fois se sera la bonne. Ce sera la première mission lancé vers venus depuis akasuki en 2010 (je ne parle pas des survols vers une autre destination) et la premier mission in-situ depuis les missions vega de la fin des années 80. Elle sera surtout la première mission d’un nouveau genre, celle des sondes d’étude interplanétaire lancée par un micro lanceur. Il y a des sous élément de mission interplanétaire qui ont déjà était plus léger, mais je ne crois pas de mission complète de moins de 100kg au moment du transfert (315kg c’est en prenant les ergols nécessaire a sont injection trans venusien).
Elle fait partie d’une série de mission de plus en plus complexité croissante organisé par le MIT pour étudier l’hypothèse d’une vie dans les nuages (pour l’instant je garde mon avis la dessus).
Sur le plan technique :
LEOPS = low earth orbit ??? ou low earth operation (ce qui veut pas dire grand-chose). En tout, vu que ca dure plusieurs jours, cela veut dire que la sonde est large en orbite basse puis s’injectera en trans venusien toute seul (on voie aussi que la masse initial de la sonde est proche des limite de l’electron pour l’orbite basse). Vu que ça prend une semaine et pas des mois, le rapport poussé/poids du vaisseau doit être assez élevé (j’essayerais d’affiné les calculs) et l’injection se fera en seulement quelque poussé voit qu’une seul. C’est pour assurer le pilotage dans cette période critique qu’il y a une antenne GPS (inutile sur venus).
Ensuite la croisière dure 5 mois, donc on est sur un transfert de hohmann classique, ce que confirme la vitesse d’entré dans l’atmosphère (11km/s). On a aussi une indication de l’angle d’entré de -10° ce qui est classique sans être particulièrement précis. Avec c’est deux donnée, on sait déjà que la sonde vas subir 73g dans sa rentre atmosphérique balistique et un flux thermique (là j’ai plus d’approximation) de 1442kW/m² soit une température du corps noir de 2000°C. C’est plutôt faible pour une sonde interplanétaire.
Le temps de chute de 65km à 45km d’altitude en 5min est assez cohérant d’une chute sans parachute, comme montré sur le schéma.
Sur le plan scientifique :
Bon c’est service minimum, mais on ne peut pas en demandé beaucoup plus a une sonde de 17kg. Elle vas caractériser les nuages alors qu’elle traverse la couche de nuage (65 à 50km) et la couche des brume (50 a 45km). Cette dernier est assez méconnu car masqué par les nuages au-dessus. C’est dommage d’avoir juste un néphélométrie car a 45km d’altitude, ils sont sous les brumes et pourrais faire des images du sol. Mais une caméra serais surement trop lourd et surtout nécessiterais top de temps de transmission. Pour finir elle est design pour tenir jusqu’à 22km d’altitude, soit 17bars et 280°C.