J'avais en tête que l'accord de la NASA et l'ASI pour la fabrication de 3 MPLM, était compensé pas 3 vols courts (Guidoni 2, Nespoli 1 et Vittori 3) et 3 vols longs (Parmitano 1, Cristoforetti 1 et Nespoli 3) italiens.
En fait, c'est un minimum.
Les Italiens ont droit a un vol long tous les 5 ans.
Ainsi, après le 3e vol de Nespoli en 2017, le 2e vol de Cristoforetti en 2022, était probablement un vol de cet accord.
Cela explique un peu mieux ce vol, qui deséquilibre le nombre de vol entre Européens (8,3% du temps total) et Japonais (12,8% du temps total), mais aussi entre Italiens (20% temps européen), Allemands (41% temps européen) et Français (28% temps européen).
Le prochain vol italien de cet accord devrait se tenir en 2027.
La preuve par le texte. Extrait du MoU NASA/ASI pour les MPLM :
(La suite du message est une interprétation de ma part.)
La présence de Villadei apparait en parallèle de cet accord.
Il existerait un accord interne italien, entre l'ASI et l'armée italienne, pour le partage de ces vols.
Dès le début, l'ASI n'aurait pas respecté cet accord : vols courts de Guidoni 2 et Nespoli 1.
C'est une des raisons qui aurait amené l'armée à financer le 2nd vol de Vittori, qui est un militaire (mission Eneide).
Le 3e vol court (STS-134) a bien été réalisé par un militaire (Vittori 3).
Je ne sais pas quelle part l'armée de l'air italienne à prise (comme pour la mission Marco Polo - Vittori 1)
Depuis la "gueguerre" interne italienne se poursuit.
L'armée a souhaité imposer Villadei lors de la sélection ESA de 2009, en le formant en avance.
Finalement l'ESA n'aurait pas voulu qu'on lui impose un candidat. Elle a choisi 2 autres militaires (Parmitano et Cristoforetti).
Cependant, l'armée n'a pas abdiqué.
Elle a continuer à former Villadei (Orlan, stages de survie en Russie, Axiom)
L'armée a probablement de nouveau essayer d'imposer Villadei sur le vol de 2022.
C'est probablement la raison de fond qui a amené Cristoforetti à démissionner de l'armée en janvier 2020.
Et voilà que maintenant, Villadei va voler sur Ax-3.
En fait, c'est un minimum.
Les Italiens ont droit a un vol long tous les 5 ans.
Ainsi, après le 3e vol de Nespoli en 2017, le 2e vol de Cristoforetti en 2022, était probablement un vol de cet accord.
Cela explique un peu mieux ce vol, qui deséquilibre le nombre de vol entre Européens (8,3% du temps total) et Japonais (12,8% du temps total), mais aussi entre Italiens (20% temps européen), Allemands (41% temps européen) et Français (28% temps européen).
Le prochain vol italien de cet accord devrait se tenir en 2027.
La preuve par le texte. Extrait du MoU NASA/ASI pour les MPLM :
(La suite du message est une interprétation de ma part.)
La présence de Villadei apparait en parallèle de cet accord.
Il existerait un accord interne italien, entre l'ASI et l'armée italienne, pour le partage de ces vols.
Dès le début, l'ASI n'aurait pas respecté cet accord : vols courts de Guidoni 2 et Nespoli 1.
C'est une des raisons qui aurait amené l'armée à financer le 2nd vol de Vittori, qui est un militaire (mission Eneide).
Le 3e vol court (STS-134) a bien été réalisé par un militaire (Vittori 3).
Je ne sais pas quelle part l'armée de l'air italienne à prise (comme pour la mission Marco Polo - Vittori 1)
Depuis la "gueguerre" interne italienne se poursuit.
L'armée a souhaité imposer Villadei lors de la sélection ESA de 2009, en le formant en avance.
Finalement l'ESA n'aurait pas voulu qu'on lui impose un candidat. Elle a choisi 2 autres militaires (Parmitano et Cristoforetti).
Cependant, l'armée n'a pas abdiqué.
Elle a continuer à former Villadei (Orlan, stages de survie en Russie, Axiom)
L'armée a probablement de nouveau essayer d'imposer Villadei sur le vol de 2022.
C'est probablement la raison de fond qui a amené Cristoforetti à démissionner de l'armée en janvier 2020.
Et voilà que maintenant, Villadei va voler sur Ax-3.
Dernière édition par vp le Jeu 14 Sep 2023 - 7:46, édité 1 fois
