phenix a écrit:bon je sais que je suis pas neutre sur la question mais:
-Pour l'astrobiologie, la probabilité qu'une forme de vie extrêmophile puisse survivre a la surface est infinitésimale, mais les nuages vénusien pourrais habiter une vie comme les nuages terrestre (quoi que étanche a l'acide, bien évidemment) et vu le manque d’étude géologique de venus, on a peu d'information sur son passé et la possibilité qu'elle a eu d’habité la vie.
-Pour l'histoire de la dynamique , je comprend pas l'argument. Une dynamique, cela ce crée, on ne doit pas se limiter a une planète sous pré-texte que la génération d'avant c'est concentré dessus. Au contraire, on en a beaucoup appris sur Mars et il faudra être de plus en plus pointu pour faire de nouvelle découverte, alors que avec seulement quelques heures a la surface, on ne sait quasiment rien de Venus et chaque information collecté serait une découvetre.
Pour l'acidité, il existe une algue rouge qui vit dans un domaine de pH inférieur à 1. La vie n'a pas fini de nous surprendre.
Pour la dynamique, effectivement cela se crée, mais on investit plus facilement là où l'on a déjà investi. On va plus facilement lancer un orbiteur relais de remplacement quand on a encore des rovers à la surface que construire une nouvelle infrastructure en partant de rien ou juste pour elle-même.
Pour Vénus, l'aspect visuel me fait beaucoup rêver. Mais si un rover se pose, que ce soit sur Mars ou sur Vénus, sur un sol basaltique, dans une ancienne zone volcanique, les données récoltées seront moins riches, variées et intéressantes que dans un ancien bassin sédimentaire...
De plus, pour Mars, si le mot de compétition est trop fort, on peut quand même parler d'émulation. Il est plus difficile pour une puissance spatiale d'être en dehors de l'exploration martienne que de celle de Vénus. Là est une partie de la dynamique dont je voulais parler.
A l'opposé, il n'y a par exemple aucune dynamique d'exploration d'Uranus et Neptune, malgré l'intérêt qu'elles peuvent avoir.