Je réagie un peu a retardement, mais je me permet de fournir un complément d'information sur ma futur résidence secondaire.Fabien0300 a écrit:Le 26 décembre, la sonde Parker a profité de son assistance gravitationnelle de Vénus pour allumer ses instruments et étudier l’interaction (le choc) entre la ionosphère de la planète et les vents solaires. Le but étant de définir exactement où se situe ce choc en fonction du cycle solaire de 11 ans. Les chercheurs devraient ainsi comprendre à quelle vitesse la planète perd son atmosphère. On en apprendra encore plus lors des deux prochains survols de la sonde en juillet 2020 et février 2021 car Parker passera à travers la queue de Vénus, là où l'atmosphère s'échappe.
https://www.space.com/parker-solar-probe-venus-flyby-observations-december-2019.html
l'étude des pertes atmosphérique est essentiel pour comprendre l'histoire de venus, car permettrait d'établir des modelés de la perte d'eau. En effet, venus c'est formé près de la terre et a donc du absorbé des quantités similaire d'eau dans le disque protoplanétaire et par bombardement cométaire. Or aujourd’hui on a plus que le nuage d'acide sulfurique qui contienne de l'eau soit sous forme simple soit combiner dans des quantités bien trop faible comparé au océan qu'on pourrait attendre. L’hypothèse majoritaire est que la vapeur d'eau des océans ai migré vers les couches haute de l'atmosphère et est était décomposé en oxygène (qui combiné a du carbone aurais crée du CO2) et en hydrogène qui, particulièrement léger, aurais était soufflé par les vents solaire. Or vu qu'on comprend très mal se phénomène, on a du mal a en estimé le débit et donc savoir en combien de temps des océans entier on pu être soufflé. Savoir quand venus a perdu ses océans est essentiel car selon les modelés de formation planétaire, venus devrait encore aujourd’hui être vivable avec une atmosphère 4 fois plus important que le notre (contre 100fois aujourd'hui), des température légèrement supérieur au notre (contre 500°C aujourd'hui et de l'eau liquide en surface. donc il y a eu quelque part un point de divergence dont on ne connais pas la nature mais dont la connaissance du débit de fuite de l'hydrogène permettrait d'estimé quand il est survenu.
Se phénomène est un cas unique dans les systèmes solaire car mercure n'a déjà plus rien à perdre, la terre et protéger par sont champs magnétique et mars est trop loin et a une atmosphère trop tenu pour que le phénomène de perte soit aussi importante que sur venus. De delà de la seul compréhension de notre jumelle, cette étude est essentiel car se model de formation pourrais se retrouvé sur les exo planète et ainsi différencier a distance des planètes vivable comme la terre d'enfer (pour la vie terrestre) comme venus.
Coté technique, cette étude se heurte a un problème financier car pour mieux le comprendre il faudrait placer un ou plusieurs orbiteur sur des orbites particulière qui ne permettrait d'étudier que la ionosphère. Donc même si cette investigation est essentiel elle ne peu pas justifier a elle seul le cout d'une mission entier alors qu'un orbiteur sur une orbite polaire pourrais étudier efficacement a la fois l'atmosphère et la surface. Une idée serait d'envoyer une mission multiplateforme comprenant en plus de la mission principale un ou plusieurs cuestas dédiées à l’ionosphère. Mais en attendant, on se contente d'utilisé les sonde qui passe dans le coin (et Parker est particulièrement bien instrumenté pour ça) pour récolté des données