David L. a écrit:Vénus vue par la sonde Parker avec l'instrument WSIPR durant le survol du 11 juillet 2020 :
A la surprise de l'équipe de l'instrument, celui-ci, en détectant le rayonnement thermique, a permis de "voir" à travers l'épaisse atmosphère.
https://www.nasa.gov/feature/goddard/2021/parker-solar-probe-offers-a-stunning-view-of-venus
Vu qu’on parle ici de Vénus, je me permets de donnée un peu de contexte.
Je ne connais pas très bien l’instrument WSIPR mais de se qui est indiqué, l’instrument travail sur le visible, donc il aurait donc dû imager les nuages qui masque continuellement la surface. Or les équipes on l’air d’avoir était surpris de voir apparaitre l’image ci-dessus qui laisse deviner une importante masse noir. En recoupent, ils ont se sont aperçu que c’était Aphrodite terra, le plus grand des deux « contenant » vénusien qui culminer en moyenne à 3km au-dessus des plaines volcanique alentour. Ils en ont rapidement déduit qu’il avait capté le rayonnement thermique de la surface, car comme sur terre, il fait plus froid en altitude (d’où le continent plus sombre). L’instrument aurais donc capté un rayonnement infrarouge qu’il n’était pas prévu. Cela pourrait avoir des conséquences :
-pour Vénus : la majorité des infrarouges sont bloqué par les différentes couche de nuages, mais il existe certaine « fenêtre » fréquentiel permettent d’étudier la température de surface de nuit. Le « rayonnement parkerien » est clairement passé dans une de c’est fenêtre. Il faut donc en déterminer la fréquence pour savoir si c’est un fenêtre connu ou une nouvelle qui pourrais être utilisé dans de future mission.
-pour Parker : Pour l’instant, l’équipe en charge de l’instrument annonce que c’est formidable car il pourrait avoir des données sur d’autre fréquence. En fait, ils doivent surement avoir quelque sueur froide car cela signifie que l’instrument ne fonctionne pas comme attendu. Il faudrait qu’il identifie rapidement quelle est cette fréquence et comment cela affecte leur résultat.