phenix Lun 1 Avr 2019 - 10:51
vu que l'impact a leur lieu en plein face , je vois pas comment l’énergie de débris aurait pu être augmenté (a moins d'explosion de réservoir ou autres, mais même la c'est a minima) . Donc si l’énergie n'augmente pas et que la déviation de trajectoire augmente sont apogée, sont périgée vas descendre . vu que l'impact a eu lieu a 250km d'altitude, ça commence déjà a beaucoup frotté, donc diminuer le périgée vas diminuer la durée de vie plus que si l'orbite resté circulaire.
de plus il faut prendre en compte la modification du coefficient basilique. imaginons que l'impact ai simplement éclate le satellite sans même lui transfert d’énergie cinétique (le ralentir dans notre cas), cela voudrait dire que la masse d’élément en orbite est identique, mais la surface de frottement qui était juste une face du satellite est multiplier car devient la surface de chaque débris. le coefficient balistique global du nuage de débris est donc bien plus faible celui du satellite d'origine, donc il vas rentré beaucoup plus vite. certes certaine débris vont avoir un coefficient ridicule comme les feuille de mylar, mais même les vis ou autre élément dense devrait avoir une durée de vie réduite.
pour finir a 250 km d'altitude et même si quelque objet on était dévier jusqu’à 300km, le nuage n'est pas très dangereux. en effet , se sont des altitude trop basse pour y maintenir des satellite actif très longtemps , donc il y a surtout des satellites mort et leur durée de vie est trop courte pour crée un effet boule de neige. bref c'est une destruction propre qui ne laissera aucune trace d'ici un ou deux mois contrairement a l'essai chinois qui a eu lieux a 800km d’altitude (bien plus peuplé, utilie et avec une durée de vie largement supérieur).