phenix Ven 19 Avr 2024 - 9:16
Ce que j'aime bien dans les positions bloquées, c'est qu'elle s'auto entretienne. Ce n’est pas rentable car on n’a pas la technologie =>donc on investie pas=> donc on développe pas de technologie => donc ce n’est pas rentable car on a pas la technologie.
Je disais pareil des éoliennes au début de mes études d’ingénieur. L’état de l’art était à 3MW avec des proto a 5MW, une galere administrative pour implanter la moindre éolienne a terre et une bizarrerie danoise avec des éoliennes en mer sur un des seuls bancs de sable (entre 5 et 20m de fond, assez solide, bien venté sans trop de mer) au monde capable dès les accueillir. Mais il y a bientôt un an, j’ai visité le chantier des éoliennes du golf de fos pour un exercice se secourisme. Se sont des monstres de 200m de haut, 13MW sur des flotteurs avec un ancrage a plus de 100m de fond mais utilisant des technologies off-shore éprouvé a 400m. la donne a changé avec une puissance multiplier par 4, un vent (en mer) deux fois plus régulier et une profondeur limite multiplier par 5 a 20 (donc des surfaces exploitable exponentiellement plus importante). Donc j’ai cru que les éoliennes était une utopie inutile, mais je suis bien contant que des gens ai continué (et continue) a bossé sur le sujet lorsqu’on voit les opportunités ouvertes. L’ironie étant que ce sont les technologies (ancre a sussions de grande profondeur) développer pour les plateformes pétrolières qui nous permette aujourd’hui d’imaginer une énergie décarboné (ou moins carboné)
Pour le solaire spatial, des dernières présentations que j’ai vu en conférence ça ne fait pas reve. Mais rien que le rapport de la nasa, dans son scénario optimiste, on est sur un cout de l’énergie bien inferieur a se qui est pratiqué aujourd’hui. Ok, même en investissant, se sernario ne serais pas disponible avant 10 -20an et d’autre projet terrestre seront peut- être concurrentiel. Mais dans le doute autant investir (on est au pre-etude, le cout faible au vu de l’ampleur du projet) pour être prêt si sa devenais intéressant. Sans compter que on ne sais jamais dans quelle domaine peut être utile une technologie développer pour un autre projet.
Certains blocages pourraient sauté d’eux-mêmes (poussé par d’autre secteur de l’industrie), je pense au cout du kg en orbite ,500€/kg pour le scénario optimiste de la nasa alors que spaceX annonce 13€/kg avec le starship. Il ne faut pas croire sur parole spaceX mais, même avec a cout a 100€/kg, le scénario déjà intéressant de la NASA devient carrément rentable. Donc es ce qu’ont attende que le blocage saute pour investir et ont se retrouve derrière tout le monde, ou es-ce qu’on fait des études maintenant, on identique quels verrous doivent sauté pour être prêt quand il le faudra.
Une solution intermédiaire serais l’industrialisation spatial. Aujourd’hui on a des constellations de télécommunication en orbite et il y a déjà des projets de serveur en orbite. Ça veux dire qu’on peut délocalisé une partie de notre réseau informatique mondial (si gourment en electicité) dans l’espace. On ne produirait plus l’energie dans l’espace pour le retransmettre sur Terre, mais on la consommerais dans l’espace pour renvoyer le produit fini (des données informatique) sur terre. L’approche normal est que c’est satellite, en orbite basse pour diminuer le ping aurais des gros problèmes d’éclipsé nécessitant grand panneaux solaire et batterie. Mais quelque prototype de ferme solaire en GEO (quasi jamais éclipsé) pourrais les alimenté par laser afin d’evité que chaque satellite ai de grosse baterrie et donc diminuer la masse total (et donc le cout) en orbite.