montmein69 Ven 26 Avr 2013 - 18:31
L'article est basé sur des recherches faites aux USA par un centre de recherche militaire. En analysant des comportements cellulaires.
Researchers at the US Army Medical Command analyzed data collected during the final flight of the shuttle Atlantis in 2011, which, in addition to carrying astronauts and scientific equipment into space, had a cargo of living human cells in a sterile module.
On y rappelle aussi des résultats similaires trouvés par les chercheurs russes.
Pour autant que ces résultats puissent "défriser" certains, ils existent et ne sont pas l'oeuvre de détracteurs des voyages spatiaux. On étudie, on conclut .... et on cherhe des solutions pour limiter ces effets.
Car en plus du voyage proprement dit, les "explorateurs" devront être en forme pour accomplir de nombreuses tâches une fois arrivés à destination. Et on espère qu'ils pourront revenir au mieux de leur forme.
Cela peut effectivement induire des recherches technologiques plus poussées dans le domaine de la création d'une gravité artificielle. Et ce sera à prendre en compte dans la création des engins permettant les voyages longs qui sont annoncés pour explorer le beyond. (la centrifugeuse qui était prévue pour l'ISS était de dimensions modestes .. mais aurait pu commencer à éclairer sur le sujet)
Finalement ... on n'en est qu'aux prémisses, donc pas trop étonnant que cela n'ait pas encore été au centre des préoccupations (et des dépenses)
Même la mission EM-2 prévue par la NASA en 2021, restera encore un "petit bond" pour l'équipage, avec un voyage relativement court et pouvant s'effectuer dans la seule capsule Orion.
Mais que ce soit pour les USA, les russes ou les chinois .... indéniablement il faudra prendre tous ces aspects en compte pour concevoir, chacun dans son coin ou tous ensemble en coopérant, les premiers vaisseaux interplanétaires. Qui peut se plaindre qu'on anticipe cela en accumulant le plus de données possibles ?