Venus Landsailing Rover
Un projet curieux de char à voile robotisé pour explorer Vénus.
Effectivement cela peut paraitre étrange d’imaginer de se déplacer sur Vénus en utilisant les vents, qui sont très lents. Toutefois à y réfléchir un peu plus, cela serait possible à condition de ne pas être pressé. En effet les vents y sont très lents, mais l’atmosphère y est très dense ce qui permettrait tout de même une force propulsive conséquente.
Bien sûr il vient tout de suite à l’esprit, les conditions épouvantables qui règnent sur cette planète… mais épouvantables pour qui ? Pour des astronautes qui s’y poseraient, mais pour de la mécanique et maintenant de l’électronique : Non !
En effet il existe maintenant des composants électroniques capables de supporter des températures de l’ordre de 450°C comme celles qui règnent sur Vénus, et en particulier des cellules photovoltaïques .
Certes, vu l’opacité de l’atmosphère vénusienne, la puissance électrique produite resterait faible, mais tout de même suffisante pour un fonctionnement au ralenti : or comme les déplacements seraient lents, les décisions de la robotique embarquée pourraient l’être aussi.
Un projet curieux de char à voile robotisé pour explorer Vénus.
Effectivement cela peut paraitre étrange d’imaginer de se déplacer sur Vénus en utilisant les vents, qui sont très lents. Toutefois à y réfléchir un peu plus, cela serait possible à condition de ne pas être pressé. En effet les vents y sont très lents, mais l’atmosphère y est très dense ce qui permettrait tout de même une force propulsive conséquente.
Bien sûr il vient tout de suite à l’esprit, les conditions épouvantables qui règnent sur cette planète… mais épouvantables pour qui ? Pour des astronautes qui s’y poseraient, mais pour de la mécanique et maintenant de l’électronique : Non !
En effet il existe maintenant des composants électroniques capables de supporter des températures de l’ordre de 450°C comme celles qui règnent sur Vénus, et en particulier des cellules photovoltaïques .
Certes, vu l’opacité de l’atmosphère vénusienne, la puissance électrique produite resterait faible, mais tout de même suffisante pour un fonctionnement au ralenti : or comme les déplacements seraient lents, les décisions de la robotique embarquée pourraient l’être aussi.