Détection des météorïdes et micro-météorïdes lors d’un déplacement interplanétaire.
Ce n’est pas ma tasse de thé. Mais le sujet, même à l’échelle planétaire, reste pertinent et d’actualité.
Il suffit d’observer le listing et les datations des cratères géants présent sur la surface de la planète Terre pour valider l’hypothèse d’au moins une « blessure colossale » dans ce qui pourrais être appelé : le chaînon d’évolution optimal de la biodiversité terrestre depuis son apparition il y a quelques milliards d’années, selon les scientifiques.
Lors de voyages, dans les zones de l’héliosphère où la navigation spatiale est possible, aujourd’hui encore le facteur chance est présent.
Notamment par rapport aux dégâts que pourraient causer de plus ou moins petit objets de type météorïdes ou micrométéorïtes.
Avec l’augmentation considérable, quasi certaine, des vitesses de déplacement des vaisseaux futurs, les conséquences et les probabilités de rencontres, non pas du troisième type, quoique... (humour), mais plutôt du genre fin de mission, vont s’accroitre.
Pensez-vous qu’il faille investir dans la recherche et le développement d’outils « on board » de détection de ce type d’objets ?
Sachant que les vitesses additionnées (le vaisseau dans un sens et l’objet céleste en direction inverse) seront peut être de l’ordre de 300 km/sec.
Avec des tailles de l’ordre du millimètre.
Et des distances de détection minimale entre 1500 et 10 000 km.
A : Repérer les cibles :
Modes de détection sphériques
B: Calculer :
Calculateur d’impacts.
Calculateur de trajectoires de collision.
Calculateur d’évitement.
C: Éviter, réduire ou détruire :
Outils de réduction d’impacts ou de destruction.
Faisceaux, ondes, laser, autres.
Il doit certainement exister de par le monde, parmi les nombreux départements de recherches ou autres, quelques-uns dédiés à cela.
Si quelque en sait plus, c’est le bienvenu...mais pas trop vite....
LUX LUCET IN TENEBRIS
T. :cadeau:
Ce n’est pas ma tasse de thé. Mais le sujet, même à l’échelle planétaire, reste pertinent et d’actualité.
Il suffit d’observer le listing et les datations des cratères géants présent sur la surface de la planète Terre pour valider l’hypothèse d’au moins une « blessure colossale » dans ce qui pourrais être appelé : le chaînon d’évolution optimal de la biodiversité terrestre depuis son apparition il y a quelques milliards d’années, selon les scientifiques.
Lors de voyages, dans les zones de l’héliosphère où la navigation spatiale est possible, aujourd’hui encore le facteur chance est présent.
Notamment par rapport aux dégâts que pourraient causer de plus ou moins petit objets de type météorïdes ou micrométéorïtes.
Avec l’augmentation considérable, quasi certaine, des vitesses de déplacement des vaisseaux futurs, les conséquences et les probabilités de rencontres, non pas du troisième type, quoique... (humour), mais plutôt du genre fin de mission, vont s’accroitre.
Pensez-vous qu’il faille investir dans la recherche et le développement d’outils « on board » de détection de ce type d’objets ?
Sachant que les vitesses additionnées (le vaisseau dans un sens et l’objet céleste en direction inverse) seront peut être de l’ordre de 300 km/sec.
Avec des tailles de l’ordre du millimètre.
Et des distances de détection minimale entre 1500 et 10 000 km.
A : Repérer les cibles :
Modes de détection sphériques
B: Calculer :
Calculateur d’impacts.
Calculateur de trajectoires de collision.
Calculateur d’évitement.
C: Éviter, réduire ou détruire :
Outils de réduction d’impacts ou de destruction.
Faisceaux, ondes, laser, autres.
Il doit certainement exister de par le monde, parmi les nombreux départements de recherches ou autres, quelques-uns dédiés à cela.
Si quelque en sait plus, c’est le bienvenu...mais pas trop vite....
LUX LUCET IN TENEBRIS
T. :cadeau: