Une idée m'est venue, que je soumets à votre regard aiguisé.
Problématique : dans le vide et en absence d'accélération, les ergols résiduels "flottent" dans le réservoir. Pour rallumer le propulseur principal, il est nécessaire de plaquer à nouveau ces ergols contre les bouches d'admission qui les achemineront aux turbopompes, etc. Pour ceci, on applique au réservoir une accélération générée par de petits propulseurs d'appoint (ullage).
Idée : si on fixait contre la paroi à l'intérieur du réservoir une vis sans fin, du type qu'on trouve dans les camions toupie, et qu'on mettait le cylindre en rotation, les ergols seraient ramenés vers le "bas" du réservoir...
Un tel mécanisme serait-il capable de perdurer dans le temps ? Je pense que non. J'imagine qu'il y aurait quand même des ergols qui s'échapperaient de la vis, une fois arrivés au fond, et qui flotteraient au centre du réservoir, avant d'être à nouveau en contact avec la vis, qui leur impulserait à nouveau un mouvement vers le bas. Cette impulsion ne se ferait pas sans une perte d'énergie du cylindre en rotation, qui serait convertie en énergie longitudinale.
Qu'en dites-vous ?
Problématique : dans le vide et en absence d'accélération, les ergols résiduels "flottent" dans le réservoir. Pour rallumer le propulseur principal, il est nécessaire de plaquer à nouveau ces ergols contre les bouches d'admission qui les achemineront aux turbopompes, etc. Pour ceci, on applique au réservoir une accélération générée par de petits propulseurs d'appoint (ullage).
Idée : si on fixait contre la paroi à l'intérieur du réservoir une vis sans fin, du type qu'on trouve dans les camions toupie, et qu'on mettait le cylindre en rotation, les ergols seraient ramenés vers le "bas" du réservoir...
Un tel mécanisme serait-il capable de perdurer dans le temps ? Je pense que non. J'imagine qu'il y aurait quand même des ergols qui s'échapperaient de la vis, une fois arrivés au fond, et qui flotteraient au centre du réservoir, avant d'être à nouveau en contact avec la vis, qui leur impulserait à nouveau un mouvement vers le bas. Cette impulsion ne se ferait pas sans une perte d'énergie du cylindre en rotation, qui serait convertie en énergie longitudinale.
Qu'en dites-vous ?