Les résultats de ce projet ont été publiés en début d'année (mars 2021) : un mélange de sécurité (face aux collisions dans l'espace), de R&D et de stratégie UE...
"Le seul modèle européen de la thermosphère, le Drag Temperature Model (DTM), est limité à une altitude de 120 km, ce qui impose de s’appuyer sur des modèles américains pour les calculs de rentrée à une altitude inférieure."
«Grâce à la combinaison des tables numériques à moyenne mensuelle du modèle unifié calculées par le bureau météorologique du Royaume-Uni [et le Brexit ?] et d’un DTM actualisé, nous disposons désormais d’un modèle d’atmosphère jusqu’à environ 1 500 km. Ce modèle, le MOWA Climatological Model (MCM), peut être utilisé pour l’exploitation des satellites, y compris pour les calculs de rentrée dans l’atmosphère», explique Sean Bruinsma. «Le MCM constitue une avancée considérable pour l’indépendance de l’Europe dans le domaine des opérations spatiales,
https://cordis.europa.eu/article/id/430557-reducing-the-risk-of-collisions-in-space-through-better-thermosphere-modelling/fr
http://swami-h2020.eu/
"Le seul modèle européen de la thermosphère, le Drag Temperature Model (DTM), est limité à une altitude de 120 km, ce qui impose de s’appuyer sur des modèles américains pour les calculs de rentrée à une altitude inférieure."
«Grâce à la combinaison des tables numériques à moyenne mensuelle du modèle unifié calculées par le bureau météorologique du Royaume-Uni [et le Brexit ?] et d’un DTM actualisé, nous disposons désormais d’un modèle d’atmosphère jusqu’à environ 1 500 km. Ce modèle, le MOWA Climatological Model (MCM), peut être utilisé pour l’exploitation des satellites, y compris pour les calculs de rentrée dans l’atmosphère», explique Sean Bruinsma. «Le MCM constitue une avancée considérable pour l’indépendance de l’Europe dans le domaine des opérations spatiales,
https://cordis.europa.eu/article/id/430557-reducing-the-risk-of-collisions-in-space-through-better-thermosphere-modelling/fr
http://swami-h2020.eu/