Séraphin Lampion a écrit:
Par contre, Walter c'est un sujet diffèrent. Se n'est pas l'agence spatial italien (l"italie" donc je parle au paragraphe précédant) qui gère, mais l'armée de l'air italienne. Je n'ai jamais compris comment une armée de l'air pouvais entretenir son propre astronaute et lui payer des missions sans passé par l'agence qui a pour but de prendre en charge les activités spatial du pays. Je vois pas la moindre justification opérationnel d'une telle mission et j'imagine a peine la tête des aviateurs italien qui (comme les notre) se batte pour maintenir des avions en état avec des budgets réduit et qui vois le prix de 2 hélicoptères neuf être dilapidé en une semaine de voyage.
Merci pour toutes vos précisions et notamment cette remarque très pertinente.
J'avais connaissance de la nuance qu'apporte la catégorie "vol habité" et le retard de la France concernant cette contribution mais ça m'a toujours paru surprenant. La France, en étant le 2ème contributeur de l'ESA, finance pleins d'autres projets en majorité qui profitent à tous les membres, donc c'est complétement injuste de la pénaliser sur une catégorie où elle injecte moins, la contribution globale devrait primer, m'enfin la politique c'est compliqué...
Toute façon c'est surtout un problème de fond plus que de forme cette histoire, l'Italie et dans un degré moindre la Hongrie, sont contre-productifs en essayant de la jouer solo, quand bien même cela émane d'autres organe dans le pays, il faudrait se coordonner un minimum.
chaque contribution implique des contreparties, souvent des retombé économique sur le territoire national. Pour le budget vol habité, la contrepartie est aussi des heures de vol pour les astronautes nationaux. Imaginons que la contribution de la France a l'ESA serais uniquement sur ariane 5 , que la continuation de l'Allemagne serait uniquement pour l'ISS et que les deux contributions soit égal. Si le temps de vol était attribuer en fonction de la contributions global a l'ESA (et non uniquement au budget ISS) cela voudrais dire que la France aurais tout ariane et autant d'heure de vol que l'Allemagne qui n'aurais aucune retombé d'ariane, es que se serais juste ? (bon, on vas évité de parlé de Vega, c'est un sujet .... explosif
)
vp a écrit:Je le vois comme cela.
Un organisme (ici public avec l'armée italienne et le gouvernement hongrois, mais demain ce sera peut-être des entreprises privés) souhaite monter un programme scientifique d'un vol spatial habité.
Cet organisme n'a pas d'astronaute (dans le corps européen) ou ne correspond pas au programme.
Cet organisme sélectionne son astronaute.
Ne nous voilons pas la face, la science n'a rien a voir la dedans. Pour la Hongrie, c'est une question de prestige, le premier astronautes depuis la chute de l'URSS et une façon de prouvé qu'elle n'a pas besoin de l'Europe (le pays est assez distant avec l'UE). Par contre, pour l'armée de l'air italien, c'est juste pas leur travail de faire de la science, ils ont des instituts de recherche et une agence spatial pour ça. L'armée finance le développement de technologie (darpa au USA, DGA en France) dans un but opération, quelle est le gain opérationnel a envoyer un type en orbite quelque semaine alors qu'on a déjà des vrais astronautes scientifique qui font des missions de 6mois.
Ce qui est dommage c'est que ca fait plus de cents millions d'euro payer par l'Italie et la Hongrie sans le moindre retour sur investissement sur le territoire national (tout part au USA). En voyant cette engouement en plus du travail de l'ESA sur les vols habités, il serai bien qu'on se lance, enfin dans un vrai programme habité européen (lanceur + capsule+ station) pour lequel chaque euro dépensé resterais dans l'économie européen.
Pour finir, dans un modelé classique d'agence spatial, c'est elle qui développe tout et gère tout , la capsule, la station et le corps des astronaute. Les USA on une volonté de libéralisation du vol habite et du passage a un statue de client. C'est pour ça qu'elle a poussé (et financé) le développement de capsule privé qu'elle achète pour desservir l'ISS mais qui peuvent aussi être vendu a d'autre entité (isaacman, axium). La prochaine étape sont les stations spatial privé qui réservons des astronautes Nasa , mais aussi privé. L'idée serais de faire de l'espace un marché comme les autres, avec des ticket vendu a des pays voulant faire une vole de prestige (emirats, hongrie) , des riches touriste voulant faire un voyage exceptionnel (axiom 1, isaacman) mais aussi des laboratoires de recherche (université, entreprise, institut de recherche) qui enverrais directement leur scientifique faire leur expérience au lieu de les laissé manipulé par des astronaute d'agence spatial. les USA ont lancé se mouvement, se serais bien que l'Europe (avec les compétences qu'elle a ) se lance aussi comme fournisseur de service spatiaux habité au lieu de resté un client payeur.
