Au delà de 100km d'altitude l'atmosphère est pratiquement absente, cette limite a d'ailleurs été choisie pour définir la frontière atmosphère/espace. Mais dans la réalité il n'en est rien, enfin pas de façon dense.
En fait l'atmosphère monte bien plus haut mais de façon tellement négligeable qu'on n'en tient généralement pas compte. Cependant il subsiste suffisement de molécules pour créer quotidiennement d'infime freinage qui au fil des mois peuvent faire perdre plusieurs kilomètres.
L'activité solaire a aussi un rôle, plus modeste. Lors de forte ativité solaire il dilate légèrement l'atmosphère et ralenti d'autant plus les objets en orbite basse qui se voient opposés à plus de molécule d'air. A noter que le rayonnement solaire a aussi tendence à pousser très faiblement un objet.
Tout ceci explique que ISS qui est à plus de 400km a besoin annuellement d'être remonté à son altitude. Cette remontée se fait grace au vaisseau ravitailleur russe Progress ou par l'ATV dès 2008.
En fait l'atmosphère monte bien plus haut mais de façon tellement négligeable qu'on n'en tient généralement pas compte. Cependant il subsiste suffisement de molécules pour créer quotidiennement d'infime freinage qui au fil des mois peuvent faire perdre plusieurs kilomètres.
L'activité solaire a aussi un rôle, plus modeste. Lors de forte ativité solaire il dilate légèrement l'atmosphère et ralenti d'autant plus les objets en orbite basse qui se voient opposés à plus de molécule d'air. A noter que le rayonnement solaire a aussi tendence à pousser très faiblement un objet.
Tout ceci explique que ISS qui est à plus de 400km a besoin annuellement d'être remonté à son altitude. Cette remontée se fait grace au vaisseau ravitailleur russe Progress ou par l'ATV dès 2008.