phenix Mar 22 Oct 2019 - 22:07
montmein69 a écrit: Anovel a écrit:Ben si on traduit bêtement c'est une plateforme aérienne à altitude variable donc on peut imaginer un drone ou un ballon, voire un mixe des deux.
C'est effectivement ce qui est indiqué dans le texte (either an airship or balloon).
La difficulté semblant se situer dans la notion d'altitude variable. Rester à une altitude pendant un certain temps (un palier) puis décider soit de monter soit de descendre. L'idéal serait que l'engin puisse effectuer les deux indifféremment selon les besoins.
On pense au ballon ..... avec du lest largable ? une enveloppe à volume variable ? un mix de gaz (de différentes densités) ajustable ?
Bon aller je me lance
Voici les principales technologie employable pour une plateforme atmosphérique.
tout a gauche: une ballon a surpression similaire a se employer sur terre ou les mission Vega. il se balade a une altitude constante au grès des vents. faute de pilotage , il se contenterai d'exploré qu'une seul couche (bref se serait l’équivalent atmosphérique d'un atterrisseur sans Rover)
tout a droite : les contrôles multi-axes, complexe technologiquement , n'apportant aucun intérêt scientifique comparé a se qui est au milieu, voir est complètement inutile comme le motoplaneur solaire qui serait restaient a quelque couche atmosphérique.
au milieu on a les ballons a altiude controlable . il y a plusieurs technologie ici (pression mécanique, helium pomper , ballast d'air) permet un controle total (aller retour) et le dernier (changement de phases) permet uniquement monté dans le haut de la couche des nuages ou l'eau se condenserait perdrait en portance et ferait chuté le ballon jusque dans la couche des brumes ou l'eau s'evapoererait refaisant monté le ballon dans la couche des nuages.
plus que la technologie, l'important c'est la plage d'altitude exploré. le plus simple est la couche des nuage moyenne a basse (60 a 50km) ou les condition de température sont similaire a celle de la terre (-10 a 75°c) et permet donc d'y étudier le même type d’équipement, mais limite nos investigation. le top serait de pouvoir évoluer de 60 a 40km d'altitude c'est a dire descendre dans la couche des brumes inférieur. cette couche est intéressante car a l'origine des nuages au dessus et inetudier depuis l'orbite car les longueur d'onde d’étude sont soit trop importante (radar) et la perfore sans donner d'info, sois trop courte (IR , visible, UV) et arrêté par les nuages au dessus. de plus une plateforme atmosphérique évoluant sous la couche des brumes inférieur pourrait étudier la surface sur des longueur d'onde arrêté par les nuages et donc inutilisable par les orbiteurs.