MOI ! :-)phenix a écrit:qui y crois?
c'est le projet le plus sérieux qui puisse se réaliser (nonobstant les tensions internationales)
(tous les scénarios vers Mars pour moi c'est du pipeau) (je veux dire dans ce siècle)
MOI ! :-)phenix a écrit:qui y crois?
Gergovi a écrit:MOI ! :-)phenix a écrit:qui y crois?
c'est le projet le plus sérieux qui puisse se réaliser (nonobstant les tensions internationales)
(tous les scénarios vers Mars pour moi c'est du pipeau) (je veux dire dans ce siècle)
C'est sur que ça parait sérieux mais c'est pour le moment que du dessin et quelques parlottes d'ingénieurs et d'administrateurs tant que le sénat américain n'a pas voté les crédit et que ce n'est pas, même partiellement, lancé en orbite ça ne vaut pas plus que les autres projetsGergovi a écrit:MOI ! :-)phenix a écrit:qui y crois?
c'est le projet le plus sérieux qui puisse se réaliser (nonobstant les tensions internationales)
(tous les scénarios vers Mars pour moi c'est du pipeau) (je veux dire dans ce siècle)
Ben?? Moi je n'en suis pas si sûr!James T Kirk a écrit:il serait temps qu'un projet quel qu'il soit se concrétise un jour
Bien joué pour "l'œuf ou la poule" :en effet on peut s'appuyer sur des technologies existantes pour lancer un programme ou lancer un programme qui va sévir de tracteur a l'innovation et l'élaboration de technologie (Apollo en est le plus belle exemple) J,imagine que c'est toujours un peu les deux. La question est où placer le curseur en fonction des exigences.Giwa a écrit:Ah, ces proverbes, il y en a tellement que l’on peut toujours en choisir un ou un autre ! Bien sûr, il n’est pas raisonnable de mettre la charrue avant (ou plutôt devant ;) ) les bœufs, mais on peut aussi s’interroger de savoir qui était en premier : l’oeuf ou la poule ?
Faut-il attendre d’avoir tout le matériel nécessaire avant de lancer un programme ou ce programme lancé, on créera le matériel nécessaire ? Certes il faut éviter toute précipitation, mais quand les technologiques sont mûres pour la réalisation, on peut lancer le programme.
montmein69 a écrit:Ne pas oublier que les propositions de Lockheed Martin sont des réponses à des appels à projet émanant de la NASA.
Le DSG étant une mini-base spatiale en orbite autour de la Lune (sur orbite NRO), qui se veut assez "polyvalente" pour susciter une collaboration internationale (donc faire suite à des discussions déjà en cours entre agences)*
* cela donnerait un marche-pied à a fois pour les agences qui ne veulent pas atterrir SUR la Lune et veulent préparer le beyond, et aussi à celles qui veulent plutôt avoir des activités sur la Lune (soit par télécommande d'engins robotiques au sol, soit pour des missions humaines au sol).
Bien vu Argyre, c'est, en effet, tout à fait dans les habitudes US de faire payer aux autres leurs déliresArgyre a écrit:montmein69 a écrit:Ne pas oublier que les propositions de Lockheed Martin sont des réponses à des appels à projet émanant de la NASA.
Le DSG étant une mini-base spatiale en orbite autour de la Lune (sur orbite NRO), qui se veut assez "polyvalente" pour susciter une collaboration internationale (donc faire suite à des discussions déjà en cours entre agences)*
* cela donnerait un marche-pied à a fois pour les agences qui ne veulent pas atterrir SUR la Lune et veulent préparer le beyond, et aussi à celles qui veulent plutôt avoir des activités sur la Lune (soit par télécommande d'engins robotiques au sol, soit pour des missions humaines au sol).
Ce que je vois gros comme une maison, c'est que les Américains vont exploiter leurs partenaires pour financer et justifier le DSG. La surface de la Lune n'étant sans doute pas leur priorité, ils laisseraient l'atterrisseur, l'habitat et le véhicule de remontée aux partenaires. Ce faisant, ils s'assureraient qu'aucun partenaire ne développe un lanceur lourd ou un vaisseau interplanétaire ou un atterrisseur/habitat pour Mars et, mieux encore, si les partenaires souhaitent prolonger le séjour lunaire, ils pourraient vendre des lancements SLS avec Orion.
Argyre a écrit:montmein69 a écrit:Ne pas oublier que les propositions de Lockheed Martin sont des réponses à des appels à projet émanant de la NASA.
Le DSG étant une mini-base spatiale en orbite autour de la Lune (sur orbite NRO), qui se veut assez "polyvalente" pour susciter une collaboration internationale (donc faire suite à des discussions déjà en cours entre agences)*
* cela donnerait un marche-pied à a fois pour les agences qui ne veulent pas atterrir SUR la Lune et veulent préparer le beyond, et aussi à celles qui veulent plutôt avoir des activités sur la Lune (soit par télécommande d'engins robotiques au sol, soit pour des missions humaines au sol).
Ce que je vois gros comme une maison, c'est que les Américains vont exploiter leurs partenaires pour financer et justifier le DSG. La surface de la Lune n'étant sans doute pas leur priorité, ils laisseraient l'atterrisseur, l'habitat et le véhicule de remontée aux partenaires. Ce faisant, ils s'assureraient qu'aucun partenaire ne développe un lanceur lourd ou un vaisseau interplanétaire ou un atterrisseur/habitat pour Mars et, mieux encore, si les partenaires souhaitent prolonger le séjour lunaire, ils pourraient vendre des lancements SLS avec Orion.
Et le projet du VASIMR, où en est-il ? La société AD Astra Rocket existe -t-elle encore ?David L. a écrit:La NASA a retenu 5 entreprises pour financer une étude de 4 mois du système de propulsion électrique (SEP) de 50 kW (3 fois plus que les capacités actuelles) pour le concept de DSG.
Le budget cumulé de ces 5 études est de 2,4 M$.
Les entreprises sont : Boeing, Lockheed Martin, Orbital-ATK, Sierra Nevada et Space Systems/Loral.
https://www.nasa.gov/press-release/nasa-selects-studies-for-gateway-power-and-propulsion-element (NASA Release 17-024)
Giwa a écrit:
Et le projet du VASIMR, où en est-il ? La société AD Astra Rocket existe -t-elle encore ?
PS: en 2015, elle avait obtenu un contrat NASA:
http://www.ticotimes.net/2015/09/24/franklin-chang-ad-astra-rocket-selected-by-nasa
http://www.adastrarocket.com/aarc/investor-relations a écrit:
Ad Astra is a privately held company in the United States. In 2010, in compliance with Regulation under the US Securities Act, the company’s common shares began trading in the Costa Rican Stock Exchange under a Restricted Public Offer (RPO), which permits non-US persons only to acquire the stock in the Costa Rican public market.
phenix a écrit:Le Costa Rica n'appartient pas aux USA? C'est que j'avais cru comprendre quand ils se sont pris un cyclone et que Trump leur expliquait que ce n'était pas une vraie catastrophe.
Bien trouvé Je me demande si une IA aurait pu pensé à ça ;)Lunarjojo a écrit:Mon message pour dire que le titre de cette rubrique est pour le moins...Comment dire? Taquin? Ironique? Persifleur?
Lockheed Martin et son DSG... Pourquoi pas Space X et son BFR? Les uns paraissent-ils plus sérieux que les autres?
Bon, c'est pas tout, le travail m'attend.... :iout:
- Bigelow Aerospace of Las Vegas, Nevada
- Boeing of Pasadena, Texas
- Orbital ATK of Dulles, Virginie
- Sierra Nevada Corporation’s Space Systems of Louisville, Colorado
- NanoRacks of Webster, Texas
NASA issued the contracts, part of the agency’s Next Space Technologies for Exploration Partnerships, or NextSTEP, program, to Boeing, Lockheed Martin, Orbital ATK, Sierra Nevada Space Systems and Space Systems Loral.