Cho2 Lun 14 Mai 2018 - 9:50
Giwa a écrit:Dans ce cas d’une propulsion ionique, on doit avoir aussi une plus grande marge pour rectifier la mise en position d’un satellite.
il y aurait tant a dire sur la propulsion ionique....
deja , l'avantage du chimique c'est que l'on ne reste pas dans les ceintures de radiation plus de 24h, car quelques heures apres l'éjection, on fait la premiere poussée avec le moteur d'apogée et hop, on est tranquille ... alors qu'en propulsion ionique, on ne fait que ca, passer dans les radiations...
et les elements RF du satellite (la charge utile) prennent cher... et il y a pour le moment pas mal de dégâts chez nos concurrents .. mais je ne peux pas en dire plus a ce sujet sur un forum.
ensuite il y a ce putain de gradiant de gravité.... le problème avec les propulseurs ioniques c'est que les poussa sont rikiki, quelques milli newton et donc tous les epsilons qui trainent deviennent et bien, plus des epsilons .... et c'est très long, de commencer a s'arracher de l'attraction terrestre ... et je ne parle pas de remonter les inclinaisons avec un lanceur pas cher 8-)
alors oui il y a des satellites pour qui cela fonctionne mais attention, ils trichent !!!... et oui... ils embarque une petite propulsion chimique (avec des tuyere de 10 newtons) pour pouvoir s'arracher plus vite au debut... c'est ce que l'on appel les sat hybrides..
car lorsque l'on parle de satellite tout électrique (donc avec propulsion ionique) il faut lire les petites étoiles, est-ce une fois en position orbitale ou des l'ejection du satellite ??... et oui meme dans le spatial il faut lire entre les lignes ....
idem en propulsion ionique il faut beaucoup de courant.. donc ouvrir les panneaux solaires de suite.. et si radiations, usure des panneaux très importante avant meme que le sat ne soit a poste... etc...
pour la propulsion ionique il faudrait un post rien que pour débattre...
Dernière édition par Cho2 le Lun 14 Mai 2018 - 14:56, édité 3 fois