The global competition, the largest in history, was announced in September 2007, with a winner projected by 2015.
+1Space Opera a écrit:Avec GMV en leader technique, je suis curieux de voir ce que ça va donner...
Je vois que Space Opéra a déjà travaillé avec GMV ;) Tout à fait d'accord. Elles n'ont rien à prouver en la matière car tout le monde se doute que sans une forte proportion de bénévolats (recours à des étudiants et passionnés), jamais une telle opération ne sera viable sur le plan industriel (c'est uniquement la baisse des taux dans les entreprises ibères qui leur permettra de ne pas trop perdre d'argent). A ce budget là, c'est de l'associatif et si GMV s'y mets, c'est que le recours espagnol étant "tombé dans le coma", ils n'ont plus rien d'autres à se mettre sous la dent pour maintenir un semblant d'expertise plutôt que d'avoir à mettre les gens à la porte. :evil:Space Opera a écrit:Je ne suis pas aussi enthousiaste que toi, les "grosses" entreprises n'ont pas vraiment d'intérêt à se lancer dans ce genre de concours. La renommée ils l'ont déjà, et développer une mission pareille pour moins de 30M$ (sans garantie d'être payés), c'est difficile pour des groupes de plusieurs milliers d'employés.
Ce concours est surtout fait pour des universitaires et des petits groupes, et voir des grands groupes y mettre les pieds par la toute petite porte, ça ne veut pas forcément dire qu'il se passe quelque chose de particulier.
Le jour où Boeing, Astrium ou TAS montent une équipe 100% interne (ou presque) avec l'équipe et le budget qui va bien, là il y aura de quoi sursauter... et être content.
Si un module lunaire se pose bel et bien sur la Lune, disons en 2015, il pourrait emporter avec lui une masse d’environ 1 kg contenant un dispositif permettant de faire pousser 100 graines d'Arabidopsis, 10 graines de basilic et autant de navet. Cependant, il ne s’agira pas de cultiver ces plantes directement dans le sol lunaire. Une chambre de croissance étanche contenant de l’air sera employée. Une fois l’atterrissage effectué, de l’eau sera automatiquement mise en contact avec les graines exposées à la lumière du Soleil. Pendant une période de cinq à dix jours, un appareil prendra alors des photos à intervalles réguliers pour étudier le processus de germination.
NEPTUNE has flown! Team @synergymoon's rocket completed its first test flight: http://t.co/7iJyU4yjBR #glxp #newspace pic.twitter.com/k4q8yiCJDE
— Google Lunar XPRIZE (@glxp) 31 Mars 2014
Attention cette vue d'artiste représente la Neptune-5 avec des performances de seulement 30 kg en orbite basse polaire.Prof_Saesee a écrit:Après courte recherche, en fait, voici une vue d'artiste de la fusée qui devrait envoyer leur rover:
Une fusée "Neptune", fusée modulaire, à carburant liquide.
http://www.synergymoon.com/technology.html#rocket
coco457 a écrit:On dirait les fusées de l'OTRAG développées à la fin des années 1970 par une société ouest-allemande !...
"La société est sur la bonne voie pour voler avant l'expiration du prix" a déclaré Richards, et il s'attend à annoncer un contrat dans les prochains mois pour le lancement de son MX-1 comme charge utile secondaire. «Nous sommes à la recherche d'un lancement" a-t-il dit.
montmein69 a écrit: D'autant que si le vainqueur peut espérer rentrer dans ses frais avec la prime de 20 millions de $ en ce qui concerne les engins lunaires (atterrisseur, rover ...) cela ne couvre pas en plus, un lancement même à prix réduit.
Et pour les autres ... ils financent comment ?????? Les généreux mécènes pour développer un atterrisseur lunaire et un rover ... cela ne court pas les rues, un généreux fabricant de lanceurs qui offre une fusée lunaire non plus ... quant à un explorateur de la Lune (agence spatiale ou du privé) qui renoncerait à quelques dizaines voire une centaine de kilos de charge utile pour faire de la place sous la coiffe à un candidat du Google X Prize ... je suis dubitatif :scratch: :bounce:
