Ne serait-ce pas 1038 ?
https://twitter.com/NASASpaceflight/status/900790461010497537
Comment interpréter les signes algébriques moins devant les vitesses ? Pour la composante verticale,on peut l'interpréter peut-être comme une vitesse de chute...mais pour la composante latérale , est-ce une vitesse de rebroussement , c'est à dire d'approche vers le centre de la cible? En tout cas ce n'est pas évident sans légende.Wakka a écrit:https://twitter.com/elonmusk/status/900947535358967808
https://twitter.com/elonmusk/status/900951975671373824
Outan a écrit:Bonjour,
a-t-on des nouvelles éventuelles des essais avec les coiffes et le deuxième étage?
Giwa a écrit:Comment interpréter les signes algébriques moins devant les vitesses ? Pour la composante verticale,on peut l'interpréter peut-être comme une vitesse de chute...mais pour la composante latérale , est-ce une vitesse de rebroussement , c'est à dire d'approche vers le centre de la cible? En tout cas ce n'est pas évident sans légende.
Effectivement ça doit être ça et c'est plus simple comme tu l'exprimes que mes suppositions...qui reviennent au même ;)Wakka a écrit:Giwa a écrit:Comment interpréter les signes algébriques moins devant les vitesses ? Pour la composante verticale,on peut l'interpréter peut-être comme une vitesse de chute...mais pour la composante latérale , est-ce une vitesse de rebroussement , c'est à dire d'approche vers le centre de la cible? En tout cas ce n'est pas évident sans légende.
Ne serait-ce pas la distance entre le centre de la cible et l'axe vertical du lanceur qui diminue lors de l'approche? D'où le signe négatif ?
Wakka a écrit:Tu as mis un ? sur le num de l'étage.
Ne serait-ce pas 1038 ?
https://twitter.com/NASASpaceflight/status/900790461010497537
David L. a écrit:https://twitter.com/Spaceflight101/status/901035477884694528
ReusableFan a écrit:Les questions/réponses avec Musk sur les tweets sont intéressantes. En atteignant une précision au retour de 0,7 mètre, ceci laisse présager à terme la possibilité de se poser sur l'aire de lancement directement, ce qui est un des enjeux clefs de l'ITS mais aussi de la réutilisabilité en général.
Affaire à suivre.
lionel a écrit:ReusableFan a écrit:Les questions/réponses avec Musk sur les tweets sont intéressantes. En atteignant une précision au retour de 0,7 mètre, ceci laisse présager à terme la possibilité de se poser sur l'aire de lancement directement, ce qui est un des enjeux clefs de l'ITS mais aussi de la réutilisabilité en général.
Affaire à suivre.
En quoi c'est si important ? Le coût pour déplacer le premier étage du pad d'atterrissage (je ne parle pas de la barge) vers le pad de lancement, ne doit pas être si important.
Puis de toute manière ils le démontent pas un peu pour vérification ?
On peut ajouter aussi que dans le projet ITS les lancements doivent se succéder rapidement après chaque retour et que c'est mieux que l'engin se retrouve directement sur le pad de lancement...ce qui se passe ainsi dans les simulations.Hadéen a écrit:lionel a écrit:
En quoi c'est si important ? Le coût pour déplacer le premier étage du pad d'atterrissage (je ne parle pas de la barge) vers le pad de lancement, ne doit pas être si important.
Puis de toute manière ils le démontent pas un peu pour vérification ?
Remarque assez incompréhensible. Insister sur le fait que le retour s'est effectué à 70 cm de l'objectif; j'ai du mal à trouver les arguments, mais clairement oui, cela me parait trés important ! Cela démontre la maturité, la fiabilité et la précision des systèmes de guidage / pilotage de la rentrée atmosphérique. Je crois que l'on ne peut que saluer l'exploit d'une telle précision.
Hadéen a écrit:lionel a écrit:
En quoi c'est si important ? Le coût pour déplacer le premier étage du pad d'atterrissage (je ne parle pas de la barge) vers le pad de lancement, ne doit pas être si important.
Puis de toute manière ils le démontent pas un peu pour vérification ?
Remarque assez incompréhensible. Insister sur le fait que le retour s'est effectué à 70 cm de l'objectif; j'ai du mal à trouver les arguments, mais clairement oui, cela me parait trés important ! Cela démontre la maturité, la fiabilité et la précision des systèmes de guidage / pilotage de la rentrée atmosphérique. Je crois que l'on ne peut que saluer l'exploit d'une telle précision.
lionel a écrit:Hadéen a écrit:
Remarque assez incompréhensible. Insister sur le fait que le retour s'est effectué à 70 cm de l'objectif; j'ai du mal à trouver les arguments, mais clairement oui, cela me parait trés important ! Cela démontre la maturité, la fiabilité et la précision des systèmes de guidage / pilotage de la rentrée atmosphérique. Je crois que l'on ne peut que saluer l'exploit d'une telle précision.
Je parlais du point précis de revenir sur le pad.
"à terme la possibilité de se poser sur l'aire de lancement directement"
En quoi c'est incompréhensible de se demander les avantages réel eu égard de la difficulté et des risques pour la tour de lancement que cela représente, plutôt que de se poser 500m plus loin ?
Mustard a écrit:La précision de 70cm pour ce retour là me parait un peu hasardeux car on a bien vu que ça n'a pas toujours été le cas, précédemment les lanceurs était souvent quelques mètres à côté du centre. il faut aussi noter la houle qui peut faire un peu bouger le point centrale.
On pourrait parler de 70cm de précision si on atteignait à chaque fois cette valeur mais j'ai plutot l'impression que la précision c'est 0 à 4m environ, et que cette fois ci la chance a fait qu'on a été très proche du centre.
ReusableFan a écrit:
Oui c'est tout à fait vrai. Ma Falconophilie brouille mon sens critique. Laissons les statistiques évoluer au fur et à mesure des vols. Ce qui est bien avec SpaceX, c'est qu'il y en a souvent. (voilà ça me reprend)
L'apogée de la trajectoire, la plus élevée atteinte s'explique par l'altitude la plus élevée atteinte lors de la séparation (85,7 km) et d'une vitesse lors de cette séparation qui , sans être la plus élevée , était grande (1895m/s); en conséquence l'énergie mécanique du premier étage était la plus grande, ce qui sur la lancée a permis d'atteindre cette apogée record.ReusableFan a écrit:David L. a écrit:https://twitter.com/Spaceflight101/status/901035477884694528
Passage intéressant de l'article, qui parle de la trajectoire parabolique longue (247km) et de la coiffe (sans donner de détails) :
"Arising from the mission’s lofted trajectory, the first stage had the longest ‘hang time’ to date, climbing to 247 Kilometers before falling back toward Earth, successfully touching down on its four fold-out landing legs just shy of eleven minutes after liftoff.
The lofted trajectory of Thursday’s mission also afforded a favorable opportunity for returning the rocket’s payload fairing halves – a feat SpaceX aims to master by the end of this year to further reduce the cost of its launch vehicles."
Quelles conclusions peut-on tirer de cette trajectoire ? Quelles en sont les raisons ? (cf. aussi le débat hier sur les ergols non brûlés)
On ne doit en effet pas tirer de conclusion prématurée d'un niveau de précision sur un seul atterrissage, pour lequel la chance a pu jouer.ReusableFan a écrit:Mustard a écrit:La précision de 70cm pour ce retour là me parait un peu hasardeux car on a bien vu que ça n'a pas toujours été le cas, précédemment les lanceurs était souvent quelques mètres à côté du centre. il faut aussi noter la houle qui peut faire un peu bouger le point centrale.
On pourrait parler de 70cm de précision si on atteignait à chaque fois cette valeur mais j'ai plutot l'impression que la précision c'est 0 à 4m environ, et que cette fois ci la chance a fait qu'on a été très proche du centre.
Oui c'est tout à fait vrai. Ma Falconophilie brouille mon sens critique. Laissons les statistiques évoluer au fur et à mesure des vols. Ce qui est bien avec SpaceX, c'est qu'il y en a souvent. (voilà ça me reprend)